Je suis amoureuse de ce qui est.
Les problèmes émergent et sont vus de l’intérieur pour ce qu’ils sont :
des illusions.
Si je m’occupe des affaires des autres, je me sens seule et j’ai peur immédiatement.
Être dans mes propres affaires, c’est être puissante pour moi et j’offre un exemple à l’autre sans lui imposer.
La souffrance vient de n’être jamais présente à mes propres affaires.
Ce qui guérit, c’est d’être entendu et reçu dans ma propre vérité.
Ecrire aux autres ce que je ressens vraiment et demander pour pouvoir leur lire.
Sinon faire une investigation de ces pensées et voir ce que je peux partager avec l’autre.
Rien de plus amusant que de rentrer en soi.
Rien de plus émouvant que de partager cela.
Nous sommes nous-même notre sujet de conversation préféré donc autant y aller jusqu’au bout !
La peur vient de la pensée que je vais perdre quelque chose, que je ne vais pas recevoir quelque chose ou que j’ai besoin de quelque chose que je n’ai pas.
L’attachement aux pensées violentes m’empêche de savoir intimement que je suis toujours en sécurité dans le moment présent.
Byron Katie